mercredi 29 avril 2009

Monsieur Bouton et la Société... Générale !

Daniel Bouton : départ sans indemnité mais avec une retraite de 730.000 euros par an

[ 29/04/09 - 12H54 - AFP ]

Le président démissionnaire de la Société Générale Daniel Bouton a affirmé mercredi qu'il ne toucherait aucune indemnité de départ, mais percevrait une retraite de 730.000 euros par an à compter d'avril 2010, a-t-on appris auprès de la banque.

La croix de Lorraine


Il n'y a pas de photo d'avions en formation sur le web, je crois, je n'ai rien trouvé.
Voici la mienne et un article très intéressant sur le sujet ( cliquez sur le titre).

mardi 28 avril 2009

Rennes 2. Les CRS évacuent le hall d'entrée

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne
Rennes 2. Les CRS évacuent le hall d'entrée
28 avril 2009 à 20h49
Ce matin vers 5 h 30, les forces de l’ordre sont intervenus sur le campus de l’université de Rennes 2 à la demande de la Présidence pour évacuer le hall d’entrée occupé par des grévistes. Seulement deux personnes se trouvaient dans les locaux de la faculté lors de l’intervention d’une quarantaine de CRS dépêchés sur place.
Lundi une AG étudiante avait reconduit le blocage et l’occupation nocturne des locaux. En début de soirée environ quarante personnes s’étaient installées dans le hall B en déménageant du mobilier laissant craindre une action de longue durée. La majorité d’entre eux avait finalement quitté les lieux vers 3 h. "Il est de plus en plus intolérable qu’une poignée d’individus tente d’imposer ses décisions irresponsables à la communauté universitaire", souligne la Présidence de l’université.
La reprise partielle des cours pendant la journée à une nouvelle fois été perturbée par l’intervention sporadique de petits groupes de grévistes dans les salles. Demain, vers 15 h une manifestation, cette fois des anti-bloqueurs, est prévue sur le campus de l’université.

Pour remorquer un véhicule...

Achetez une barre de remorquage, cela coûte environ 30€.

Les conducteurs doivent avoir leur permis ! Celui qui est dans la voiture remorquée aura à freiner assez souvent et à anticiper car la voiture déborde légèrement sur la gauche.

Fixez bien la barre ( elle est vendue en trois éléments). Celui du milieu est muni d'un drapeau rouge afin de prévenir toute idée de se rabattre entre les deux voitures !

Si vous ne trouvez pas d’anneau d’arrimage sur les voitures c’est qu’il est rangé dans la roue de secours et qu’il faut le visser vous-même, servez-vous du démonte pneu pour bien serrer l’anneau.

L’endroit de fixation peut être situé derrière les caches réflecteurs (pour l’avant) ou ? à vérifier dans votre manuel.

Mettez le moteur en route pour que ce véhicule remorqué puisse freiner efficacement et s’il a la direction assistée c’est aussi important.

Les deux voitures doivent mettre leurs feux de détresse car on ne roule qu’à 30 km/heure et encore ! Il ne faut pas que le trajet soit long (faire des pauses) et éviter les côtes trop fortes. Le premier véhicule allume aussi ses feux de croisement.

Ne pas emprunter d’autoroute.

Anticipez ! Signalez bien vos changements de direction !

Collez « EN REMORQUE » sur la vitre arrière.

Démarrez doucement, soyez prudents et bon courage !
J'emprunte une photo sur le net pour que vous voyiez "l'équipage".


lundi 27 avril 2009

Rennes 2 toujours...

Communiqué de la Présidence
Une assemblée de 200 à 250 personnes a revoté le blocage total de l'Université avec occupation, une nouvelle fois la Présidence a donc été contrainte de demander aux équipes de sécurité de fermer les salles de cours pour éviter que les mobiliers soient à nouveau déménagés.
Malgré cette nouvelle provocation d'un groupe de plus en plus minoritaire la Présidence appelle à la poursuite demain mardi 28 avril des activités pédagogiques selon le calendrier voté par le Conseil d'Administration du 24 avril dernier.
Décision du conseil d'administration du vendredi 24 avril 2009 : modifications du calendrier 2008-2009
Le calendrier de rattrapage des cours, d'examens et de jurys, a été voté par le CA du 24 avril 2009 :
Rattrapage des cours jusqu'au 16 mai 2009 inclus (soit au moins 4 semaines)
Examens et jurys
. 1re session du 2e semestre :
- examens du 18 au 28 mai 2009
- corrections et jurys du 29 mai au 11 juin 2009
. 2e session du 1er et 2e semestres :
- examens du 15 au 30 juin 2009
- corrections et jurys du 1er au 10 juillet 2009.
Motion votée au conseil d'administration du 24 avril 2009, présentée par les administrateurs
Dans un contexte national de lutte contre des projets gouvernementaux qui rencontrent une large désapprobation de la communauté universitaire, et en affirmant son opposition forte aux tentatives actuelles de blocage des activités pédagogiques, le Conseil d'Administration de l'Université Rennes 2 :

1 / soutient les mesures prises par la direction de l'Université pour assurer les conditions d'une validation du semestre sur la base de contenus scientifiques et pédagogiques ;
2 / remercie l'ensemble des personnels BIATOS qui permettent le fonctionnement administratif, technique, pédagogique, scientifique et documentaire de l'Université dans des conditions souvent difficiles et parfois inacceptables ;
3 / remercie également les collègues enseignants qui participent activement au rattrapage dans les mêmes conditions ;
4 / exprime sa solidarité et sa reconnaissance aux personnels du service logistique qui ont permis par leur présence quotidienne et avec l'appui de personnels extérieurs, d'éviter les heurts les plus sérieux et des dégradations irréversibles, et condamnent fermement les actes d'agressivité verbale et physique à leur égard.
Résultat du vote :
Ne prend pas part au vote : 0
Abstention : 0
Contre : 0
Pour : 18
http://services.uhb.fr/
Ils ont été bien servis !
Rennes 2 : accueil d'universitaires du Japon, des USA et de Russie
3 février 2009 - 30 avril 2009

Il ne cesse de pleuvoir :(

Un p'tit quelque chose qui réchauffe bien !


Bernard Haller

Samedi 25 Avril 2009
Haller, la mort d'un "mélan-comique"
Par Jean-Luc BERTET
Le Journal du Dimanche
Bernard Haller n'a pu parvenir à son ultime barreau. Il s'est éteint vendredi après-midi, à Genève, des suites d'un problème pulmonaire. Il avait 75 ans mais aimait à répéter, depuis cinq ans, qu'il construisait l'échelle qui allait "le mener à ses 80 balais". Ce Suisse qui paradoxalement détestait l'escalade et la montagne, se promettait d'en gravir le plus lentement possible les échelons.
"A la vitesse de l'escargot", précisait-il, saluant au passage un animal auquel il vouait une si grande dévotion qu'il se l'était fait tatouer. Le gastéropode l'inspirait. "Il est hermaphrodite et peut faire l'amour vingt-quatre heures de suite. En outre, le dessin de leur coquille est signe d'infini ", expliquait-il.
Une considération d'importance pour l'humoriste qui ne détestait pas jouer avec la philosophie. Il aimait à croquer les petites et les grandes vanités, les contradictions de l'existence et sa vacuité. Les sketches de cet autoproclamé "mélan-comique" taquinaient à pleines dents l'absurde de la vie et l'ordre des choses. Ses textes portent souvent les thèmes de l'échec et de la mort et s'il en faisait rire, ce n'était pas sans lucidité ni dérision. "L'humour, disait-il, c'est un petit garçon qui traverse une cave très sombre et qui sifflote pour se donner du courage."
Pollux, c'était lui
(oui mais pas que… J’étais outrée ce matin d’entendre à la télévision un journaliste présenter Bernard Haller uniquement sous cet angle avec en prime un extrait du « manège enchanté »… temps pendant lequel le journaliste aurait pu en dire plus sur cet Homme aux multi talents ! Un hommage lui a d’ailleurs été rendu lors de la 23ème cérémonie des Molières hier soir 26 avril 2009)
Il lui avait, en tout cas, fallu de la persévérance pour s'imposer sur la scène. Après avoir arrêté en 1958 des études de vétérinaire "interminables", avoir vendu des montres de luxe, suisses, naturellement, il avait couru les cabarets durant treize ans, croisant au hasard des coulisses Brel, Barbara, Gainsbourg, Brassens et Devos, auquel il vouait une forte admiration. Il lui avait toutefois fallu attendre les années 1970 pour imposer véritablement son univers. On se rappelle son Défense de poéter dans lequel il interprétait un prof très classique et rigoriste qui s'en prenait à l'élève Verlaine, fustigeant ses "sanglots longs de l'automne et leur langueur monotone"...
Habile à incarner les personnages les plus divers et à sauter instantanément de l'un à l'autre au cours de ses shows, il a toujours regretté n'avoir pas pu jouer celui de jeune premier. La faute à une tête irrémédiablement chauve. Ce qui ne l'a toutefois pas empêché de tourner dans plus d'une cinquantaine de films et de téléfilms. Il a d'ailleurs pu prendre une revanche retentissante sur son cuir chevelu récalcitrant en étant la voix, aux accents très "birkiniens", du chien le plus échevelé de la télé française : Pollux d'un Manège enchanté qui a fait les délices d'une génération.
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samedi 25 avril 2009

A méditer !


Le printemps c’est quand la neige fond et qu’elle repousse en gazon.

Mots d’enfant - Québec

Nourrissez le loup pendant l'hiver, il vous dévorera au printemps.

Proverbe de Grèce

Les principaux points du nouveau décret sur le statut des enseignants chercheurs

Service de presse 01 55 55 84 32
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr
Le projet de décret, qui modifie le décret de 1984 sur le statut des enseignants-chercheurs, a été examiné mercredi 22 avril en Conseil des ministres, après avoir été validé la veille par le Conseil d'Etat.
Communiqué - Valérie Pécresse 24 avril 2009
Service
Comme partout dans la fonction publique, le service annuel est de 1.607 heures de travail. Dans ce cadre général, le service d'enseignement de référence fixé nationalement est de 128 heures pour les cours magistraux et 192 heures pour les travaux dirigés (TD) ou pratiques (TP). Elément nouveau, l'heure de TP a été revalorisée, et équivaut désormais à une heure de TD. La prise en compte des travaux pratiques au même titre que les travaux dirigés permet d'alléger et de valoriser le service de tous ceux qui s'impliquent dans ce type d'enseignement indispensable dans nombre de disciplines, et tout particulièrement les disciplines scientifiques.
L'une des nouveautés est la possibilité donnée aux enseignants de "moduler" leur service, c'est à dire leur nombre d'heures d'enseignement :
- en plus de l'enseignement et de la recherche, toutes les autres activités de l'enseignant-chercheur (encadrement pédagogique, cours à distance, insertion des diplômés, coopération internationale, suivi de stage, tutorat, valorisation de la recherche, diffusion de la culture scientifique...) pourront désormais être prises en compte dans le service.
- cette modulation ne pourra être mise en œuvre sans l'accord écrit de l'intéressé, qui pourra demander le réexamen d'un refus de sa demande de modulation.
- la modulation pourra se faire sur plusieurs années.
Le paiement des heures supplémentaires se fera au-delà du service de référence, une mesure qui existait jusqu'ici mais destinée à rassurer les enseignants-chercheurs craignant de se voir imposer plus d'heures d'enseignement.
Tout enseignant-chercheur pourra rejoindre une équipe de recherche autre que celle de son établissement, ce qui était jusqu'ici possible, mais compliqué et fait de façon informelle.
Evaluation
Les enseignants-chercheurs seront désormais évalués tous les quatre ans par le Conseil national des universités (CNU, composé en totalité de leurs pairs) sur l'ensemble de leurs activités. Jusqu'ici ils étaient seulement évalués de manière individuelle au moment d'une promotion (soit deux fois pour les professeurs d'université et une pour les maîtres de conférences) et sur l'activité de recherche.
L'évaluation, effectuée par les experts de la discipline, sera prise en compte pour les attributions de primes et les promotions.

http://www.ifrap.org/Evaluation-des-enseignants-chercheurs-decryptage-du-projet-de-decret,1098.html

Un rapport de la Cour des Comptes d’octobre 2005 pointait du doigt l’absence d’une évaluation institutionnelle régulière de l’investissement des enseignants-chercheurs dans leur activité de recherche et l’absence d’une estimation précise de la charge des différentes missions des chercheurs dans leur emploi du temps. En outre, le rapport notait que « près de 74,7% des enseignants-chercheurs présents dans les unités publiaient assez pour être considérés comme actifs, soit 64% de l’effectif global ». Difficulté d’évaluation d’une part, grande proportion d’enseignants-chercheurs n’ayant pas publié de manière significative d’autre part, il est logique que le gouvernement se demande comment améliorer le système, alors même qu’il augmente substantiellement les crédits consacrés à la recherche.

Mais l’évaluation par des pairs, enseignants d’une même université, semble bien difficile à concevoir, non ?

Promotions
50% d'entre elles seront décidées au niveau national par le CNU et 50% le seront au niveau local, par l'université.
Une disposition proche de la situation prévalant jusqu'à aujourd'hui, à la différence près que les promotions décidées au niveau de l'université seront basées sur l'évaluation du CNU, rendues publiques et devront être motivées.
Gestion de carrières
Certains actes (détachement, mutation, mise à disposition) ne relèvent plus du ministère mais des universités.
Mis à jour le 24 avril 2009

LA MASTÉRISATION DE LA FORMATION DES MAÎTRES

LE MONDE 22.04.09

Ce néologisme* désigne le projet de fixer la barre à bac + 5 (niveau master) pour recruter les enseignants du premier et du second degré. Les universitaires rejettent les modalités de ce projet.

La situation actuelle. Les étudiants qui se destinent à l'enseignement préparent leurs concours (notamment le capes pour le secondaire et le CRPE pour le primaire) soit en candidat libre, soit en première année d'Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM). Les IUFM, en butte depuis leur création en 1990 à de nombreuses critiques, sont devenus des écoles internes des universités depuis 2007, en application de la loi d'orientation sur l'école d'avril 2005. Pour se présenter aux concours, l'étudiant doit être titulaire d'une licence (bac + 3), même si de nombreux candidats détiennent déjà un diplôme supérieur. Une fois reçus, ils deviennent fonctionnaires stagiaires de l'éducation nationale, rémunérés 1 300 euros net par mois, et accomplissent une deuxième année d'IUFM. Celle-ci, centrée sur l'aspect professionnel de leur formation, est caractérisée par l'alternance entre la responsabilité d'une classe (six heures par semaine) et des cours à l'IUFM.

Le projet de réforme. Annoncé fin mai 2008, il prévoit de "mastériser la formation enseignante". Désormais, pour être admis à un concours d'enseignement, un étudiant doit avoir un master (bac + 5). Une fois le concours réussi, l'étudiant est directement nommé enseignant et bénéficie de l'aide d'un tuteur. Le projet supprime l'année rémunérée de formation en alternance, et ne dit mot du rôle des IUFM dans la formation des futurs enseignants.

* Et quelle nouveauté ! Pense-t-on vraiment en haut lieu qu’un étudiant qui a un bac + 5 va aller enseigner en maternelle ou en élémentaire ? Alors c'est vrai, le bac ne vaut plus rien ?

Wikipédia : Instituteur est un corps de la fonction publique française, qualifiant des enseignants ayant pour mission de travailler avec les enfants scolarisés à l'école primaire, que ce soit à l'école maternelle ou l'école élémentaire. Le corps des instituteurs a été créé par la loi du 12 décembre 1792. Pour la formation des instituteurs ont été créées des écoles normales primaires dont la création évoquée dès 1794, devient effective à partir de 1810 (Strasbourg) puis obligatoire pour les instituteurs selon la loi Guizot du 28 juin 1833.

Le 19 juillet 1889, les instituteurs deviennent des fonctionnaires d'État.

Ce corps, de catégorie B, est progressivement remplacé par les professeurs des écoles, de catégorie A celui-là, depuis 1989.

ANPE cherche " instituteur" remplaçant (bac+3 exigé) en CDD 5 mois, 26h hebdomadaires à 8,71 € de l'heure - Sous-titre : "la main invisible du marché"

Désopilant, non ?

Rennes 2 encore...

25 avril 2009

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/index_ille-et-vilaine.php

Examens à Rennes 2 : quatre semaines de retard

Le conseil d'administration de l'université de Rennes 2 a entériné, hier, le calendrier de rattrapage des cours et celui des examens du second semestre. Les dates fixées entraîneront un retard d'au moins quatre semaines sur celles établies habituellement. Les étudiants qui comptaient sur un job d'été ou qui devaient faire un stage apprécieront. Le rattrapage des cours, déjà engagé lors des vacances de Pâques, se poursuivra jusqu'au 16mai. Les épreuves de la première session d'examens se dérouleront du 18 au 28 mai, et les corrections et jurys s'achèveront le 11 juin. Les épreuves de la 2ème session (pour les premier et second semestres) auront lieu du 15 au 30 juin pour les corrections et jurys terminés au 10 juillet.

Ce calendrier ne pourra être tenu que si les perturbations cessent, précise-t-on à la direction de l'université.

Quoi qu'il en soit, ce mois de retard dans les enseignements ne compensera évidemment pas les deux mois et demi de blocage. L'université compte (sur le fait) que les étudiants auront su fournir un travail personnel qui leur permettra de subir les épreuves dans des conditions correctes.

La poignée d'étudiants-bloqueurs, qui avait l'intention d'interdire la réunion du conseil d'administration, n'a pas pu mettre son projet à exécution. En revanche, les derniers jusqu'au-boutistes ont repris, hier, les opérations de déménagement qu'ils avaient engagé la veille, en sortant le mobilier des locaux universitaires.

vendredi 24 avril 2009

Métro de Rennes


La ligne B
Les élus de Rennes Métropole ont voté le tracé définitif de l'ensemble de la ligne, hier soir (23 avril).Sa mise en service est prévue pour 2018.
• Un milliard et 29 millions d'euros
C'est le coût de l'ensemble du tracé Mermoz-Champs-Blancs (valeur janvier 2005). La majeure partie du tracé de la ligne B du métro (Mermoz-Le Gast) avait été adoptée en novembre 2007.

• 4,419 km Les élus ont validé le tracé Gayeulles-Champs-Blancs, hier soir. Le projet initial était estimé à 275 millions d'euros. Il laisse finalement place à un projet qui passe plus au sud que prévu. 10 à 20 millions de plus sont nécessaires pour réaliser ces 4,419 km.

• Sur ce tronçon, 35 000 personnes à desservir
L'objectif de Rennes Métropole, sur les trois stations de fin de parcours, est de desservir plus de 35 000 personnes : 48 % d'employés, 38 % d'étudiants et 14 % d'habitants (dont 10 % aux Longs-Champs).

• 50 000 habitants et plus de 40 000 salariés Alors qu'il a longtemps été question de ne faire qu'une partie de la ligne, ce n'est plus le cas aujourd'hui. La ligne desservira, en effet, les deux futures zones d'habitat les plus importantes à l'intérieure de la rocade de Rennes. La Courrouze, au sud-ouest, accueillera plus de 10 000 habitants et 3 000 salariés d'ici à 10 ans. Au nord de Cesson-Sévigné, le secteur intrarocade est voué à accueillir près de 40 000 habitants et 40 000 salariés d'ici 2030.

Les élus de Rennes Métropole ont voté jeudi soir (23 avril 2009)le tracé final de la ligne B du métro dont la mise en service est annoncée pour 2018. Sous les huées de plusieurs dizaines d’habitants du quartier des Longs-Champs venus manifester leur opposition à un métro aérien dans leur secteur et dénoncer une “concertation bidon”, c’est bien en aérien que le métro circulera de la station Chateaubriand aux Champs Blancs mais plus au sud que le tracé prévu initialement.

lundi 20 avril 2009

Rennes2 suite...


http://www.ouest-france.fr/ 17:59 - lundi 20 avril 2009
Au fil de l'Info Rennes : malgré la reprise des cours, quelque 250 étudiants votent le blocage total.
Alors que les cours ont repris ce matin à Rennes, quelque 500 étudiants réunis en assemblée générale cet après-midi ont voté à une courte majorité le blocage total de l'université. Une centaine de bloqueurs sont ensuite allés manifester pacifiquement devant le bâtiment de la présidence pour demander le retrait des poursuites judiciaires contre l'un d'entre eux. Néanmoins, en l'absence de piquet de grève, les cours continuent à se dérouler normalement.

Tous les enseignants avec qui j'ai parlé redoutent une fermeture de Rennes2, voici un commentaire relevé sur LibéRennes :
"Le risque est, désormais et comme je l'ai entendu de la bouche d'un inspecteur de l'éducation nationale il y a quelques jours à Paris, c'est la disparition pure et simple dans un délai relativement court (3-4 ans...) de Rennes-2, non pas par la fusion souhaitée par M. Gontard avec Rennes-1, mais par la fermeture définitive de "Villejean" et la délocalisation de ses filières sur d'autres villes, et pas forcément de Bretagne.
Triste fin d'une université où j'ai passé (sans jamais faire grève) mes plus belles années..."

YEU

Tantôt île, tantôt presqu'île suivant le niveau des océans, l'île d'Yeu est devenue une île environ 5000 avant notre ère. Aujourd'hui longue de quelques 10 km sur une largeur moyenne de 4 km, sa superficie avoisine les 23 km2...
Lire la suite sur http://www.ile-yeu.fr/
ou cliquer sur le titre et sur la carte.
Port Joinville

lundi 13 avril 2009

Avec photoshop et des photos de ce week-end !

Le bois est déjà coupé pour cet hiver...
Mais le colza met de la couleur au début du printemps !



jeudi 9 avril 2009

Vite avant que les feuilles ne repoussent !

Quelques feuilles tombées cet automne...
Je ne suis guère le calendrier mais puisqu'il perd ses feuilles en toute saison !
Roger la Ferté

mercredi 8 avril 2009

Vivement le soleil du printemps !

Il ne fait pas très beau aujourd'hui...

mardi 7 avril 2009

RENNES 2 ... AU SECOURS !

... Rennes - Toute l'actualité ...
En rouge un extrait de journal auquel vous pouvez accéder en "cliquant" sur le titre.
La présidence de l'université de Rennes2 envahie par des étudiants radicaux
C'est à se demander si certains étudiants ont leur Bac tant ils sont obstinés !
“séquestration du président en solidarité avec les ouvriers qui retiennent leur patron", votée lors d’une précédente AG la semaine dernière. Les étudiants qui occupent le hall de Rennes2 demandent, entre autres, "un semestre blanc" avec une même note pour tous à la suite des fortes perturbations qui ont empêché les cours ces huit dernières semaines sur le campus, la mise à disposition d'un local permanent pour "continuer la lutte" et le retrait des équipes de sécurité professionnelles présentes actuellement sur la fac. et puis quoi encore !
Un semestre blanc... la faute à qui ? Le beurre, l'argent du beurre... Assumez bon sang ! Quelle éducation ! Vous "avez droit" de vous exprimer et même d'exagérer, par contre vous avez aussi pris le risque de dépasser les bornes et les sanctions vont de pair, non ?
La même note "même pas en rêve" j'espère ! C'est ici que l'on mesure le degré de malhonnêteté...
Je m'arrête là je suis excédée !

lundi 6 avril 2009

Dinan son histoire et des citations sur les portes !


Nous nous étions promenées à Dinan le 12 décembre 2008...




Dinan : On pense que ce nom provient de la contraction de deux mots celtes Dunos et Ahna : Dinan serait alors la colline d'Ahna, la protectrice des vivants et la gardienne des morts, Déesse honorée dans toute l'Armorique.

(la suite ici : http://www.dinan-tourisme.com/region_histoire_des_origines.php)

Des dizaines de milliers de visiteurs viennent et reviennent chaque année dans la cité, par la route, le rail et la Rance. Avec ses rues anciennes bordées de maisons à pans de bois aux pignons aigus, aux étages à encorbellement, aux porches de bois, témoignages des XVe et XVIe siècles, ses hôtels Renaissance, ses hautes demeures du siècle des Lumières, ses églises Romane et Gothiques, ses anciens couvents, ses chapelles, ses nombreuses boutiques, crêperies et restaurants la ville de Dinan a gardé son charme d'antan, elle peut s'enorgueillir d'un des plus riches patrimoines architecturaux de Bretagne.

(la suite en cliquant sur le titre)


dimanche 5 avril 2009

jeudi 2 avril 2009

Rennes 2 Grève et "ras le bol" !

Je viens d'envoyer ce message au journal le Télégramme
http://letelegramme.com
Je suis révoltée moi aussi !
A Villejean le nombre d’étudiants diminue d’année en année…
Il ne faut pas se demander pourquoi !
2 000 étudiants, hier, à l'AG de l'université Rennes2.

(Marc Ollivier – Rennes Ma Ville du 13 mars 09)
2 000 étudiants c’est tout de même trop peu pour être représentatifs d’environ 20 000, 1/10 !
Je transmets une partie de la réaction de Sylvie Koller, maître de conférence à Rennes2, à propos de l'ambiance sur le campus de Villejean en cette période de grève.
... quelle crédibilité peut-on leur accorder lorsque, année après année, le calendrier de travail, déjà bien court, est amputé de deux à cinq semaines par l'interruption de la plupart des enseignements ?
Lorsque notre « espace de partage » est inaccessible aux étudiants qui l'ont choisi ? Ceux qui effacent, brossent, réparent (les dégâts), auront compris le risque pour leurs propres enfants. Mais les autres ?
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ». Une devise à inscrire dès lundi sur les murs du grand hall ? Encore un effort, camarades, l'université respire encore. »
http://www.ouest-france.fr/2009/02/27/rennes
Quelle catastrophe ! Quand je pense aux actes de vandalisme en marge du mouvement, j'aurais HONTE de poursuivre la grève si j'étais encore étudiante. J'en ai connu pourtant puisque j'ai fait mes études à Villejean, mais rien de comparable, il n'y avait pas autant de mauvaise foi. Que fait donc le président de Rennes2 ?
J'ai deux fils étudiants, l'un d'eux est à Rennes1 où tout va bien, chaque mouvement de grève est raisonnable, l'autre est à Villejean et je suis bigrement inquiète. Pourquoi l'encadrement se manifeste-t-il si peu ?
Allez ! Il faut faire cesser cette mascarade !

01/04/2009 Fermeture administrative de l'université de Rennes2
EDUCATION - Le président de l'université de Rennes 2 Marc Gontard a annoncé mardi la fermeture administrative "jusqu'à nouvel ordre" de l'établissement, invoquant notamment les problèmes de sécurité sur le campus. Bastion de la fronde contre les réformes universitaires du gouvernement, Rennes 2 avait recommencé la semaine dernière à fonctionner partiellement, une assemblée générale d'environ 3.000 étudiants s'étant prononcée pour un blocage deux jours par semaine, lors des mobilisations nationales. Mais lundi, une nouvelle assemblée générale de près d'un millier de personnes, qualifiée de "sauvage" par le président de l'université, a de nouveau voté un blocage total de l'établissement. Mardi matin, les étudiants et personnels arrivant sur les lieux se sont trouvés confrontés à "environ 150 bloqueurs, dont certains cagoulés ou armés de bâtons", a déclaré Marc Gontard. "La situation était très tendue et dangereuse, on ne peut pas continuer comme ça", a-t-il dit. La fermeture a été décidée "sans date de réouverture", a précisé Marc Gontard, qui affirme ne plus pouvoir compter désormais que sur la mobilisation des étudiants non bloqueurs et des syndicats pour débloquer la situation. (AFP)

Quelques renseignements encore :

http://www.rennes.maville.com/actu/actudet_-Actualite-l-invasion-du-supermarche-laisse-des-traces-a-villejean-_-857586_actu.Htm

Et sur Wikipédia :
Depuis la création de Rennes 2, peu avant 1968, des mouvements sociaux d'étudiants ont fréquemment marqué l'histoire du campus. Ils ont souvent montré leur mécontentement par rapport aux réformes liées au système universitaire ou à l'emploi. La durée des mobilisations, qui peuvent se traduire par des blocages, sont variables mais peuvent parfois durer plusieurs mois. Parmi les mouvements récents ayant provoqué des blocages, l'opposition au Contrat d’Insertion Professionnelle en 1994, contre la sélection à l'entrée de l'université en 1995, contre le plan de modernisation des universités françaises « plan 3 UM » en 1998, contre la réformes dites du LMD en 2003, contre le Contrat première embauche en 2006, ou dernièrement contre la Loi relative aux libertés et responsabilités des universités en 2007 sont les plus notables.
Villejean Rennes 2 en chiffres
L'Université Rennes 2 a compté en 2007-2008 :
17 380 étudiants
1 095 personnels (enseignants, chercheurs CNRS et Iatos)
L'Université Rennes 2 a compté en 2006-2007 :
20 139 étudiants
19 145 inscrits en formation initiale (1 010 en formation à distance)
994 inscrits en formation « Université »
2311 inscrits en formation continue
1 112 personnels (enseignants et Iatos)
L'Université Rennes 2 a compté en 2005-2006 :
21 475 étudiants
19 519 inscrits en formation initiale (1 329 en formation à distance)
1956 inscrits en formation continue
1 075 personnels (enseignants et Iatos)
5 UFR (unités de formation et de recherche)


Dernière nouvelle, ouf ! 2 avril 2009
Rennes2 Réouverture de l'université prévue lundi 6.4.9 et non 6.4.2 j'espère !
Marc Gontard, président de l'université de Rennes2, avait décidé mardi la fermeture administrative de la faculté (Le Télégramme d'hier). Une fermeture qui ne devrait pas être de longue durée puisqu'hier c'est par un nouveau communiqué que la présidence a, cette fois, annoncé la réouverture de l'université lundi prochain, à 9h. «Chaque département organisera à 9h une réunion d'information sur les modalités de rattrapage des cours et le calendrier des examens, réunion à laquelle tous les étudiants, les enseignants, les enseignants chercheurs et les personnels Biatos affectés dans les départements de formation, sont conviés».

mercredi 1 avril 2009

Paul Meurice - Victor Hugo et les musées gratuits !

L'Hôtel de Rohan Guéménée
se situe dans le quartier du Marais à Paris ( 6 et 6bis place des Vosges et 17 rue des Tournelles). Il porte le nom de ses anciens propriétaires aux XVIIème et XVIIIème siècles, l’une des branches de l’illustre famille de Rohan, descendants des anciens rois et ducs de Bretagne.
La devise familiale est évocatrice :
« roy ne puys, duc ne daigne, rohan suys ».

Paul Meurice (né à Paris le 5 février 1818 et mort à Paris le 11 décembre 1905) fut un fervent admirateur et un fidèle ami de Victor Hugo à qui il avait été présenté en juin 1836 par Auguste Vacquerie, son camarade du collège Charlemagne.

Romancier et auteur dramatique prolifique, Paul Meurice fournit aux théâtres, pendant le Second Empire, une nouvelle pièce presque tous les ans - Benvenuto Cellini (1852), Schamyl, Fanfan la Tulipe (1858), Le Maître d'école (1858), François-les-bas-bleus (1863), etc. Il collabora, au début de sa carrière, avec Théophile Gautier et Auguste Vacquerie (Falstaff en 1842) et avec Vacquerie de nouveau en 1844 (Antigone). Une adaptation de Hamlet (1847) fut représentée sous le seul nom d'Alexandre Dumas avec qui la collaboration sera longue et fructueuse. Plus tard il collaborera avec George Sand (Le Drac). Ses romans, dont les trois premiers furent commandés par Dumas, parurent d'abord en feuilleton dans les journaux.

Son activité de journaliste commença en 1842 par un article sur Le Rhin de Victor Hugo. En 1848, il fut le gérant et rédacteur en chef de l'Événement, journal inspiré par Victor Hugo et rédigé principalement par ses fils et Auguste Vacquerie avec lesquels il fondera, en 1869, Le Rappel.

Après le coup d'État du 2 décembre 1851 qui exila Victor Hugo, Paul Meurice fut son homme à Paris, l'ami dévoué qui s'occupa des affaires personnelles, des publications des œuvres du poète, des reprises de ses pièces de théâtre.

Nommé par testament exécuteur de l'œuvre littéraire de Hugo, avec Vacquerie et Lefèvre, il se chargea de la publication de ses œuvres inédites et entreprit, en 1904, la monumentale édition dite "de l'Imprimerie nationale" (Paul Ollendorff puis Albin Michel éditeurs, 45 volumes) des Œuvres complètes de Victor Hugo.

En 1902, année du centenaire de la naissance de Victor Hugo, le musée fut créé à son initiative. Il fit don à la Ville de Paris d'un grand fonds de dessins, de livres, d'éditions originales de manuscrits, de meubles et autres objets et commanda des œuvres à de nombreux artistes contemporains. L'inauguration eut lieu le 30 juin 1903.

http://www.paris.fr/portail/Culture

Paris, le 1er avril 2009
A partir du 4 avril, l’accès aux collections permanentes des musées et aux monuments nationaux sera gratuite pour les jeunes âgés de moins de 26 ans ressortissants de l'un des 27 pays européens.

Cette mesure concerne également les enseignants du premier et du second
degré de l'Education nationale.
http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/communiq/albanel/artgrat_musees.html

http://www.culture.gouv.fr/culture/regions/regions_grat.htm

Cette adresse vous donne la liste des musées et monuments nationaux.

Des arbres en hiver, des citations et le chêne des Etats-Unis d'Europe de Victor Hugo

Aux proscrits
EN PLANTANT LE CHÊNE DES ÉTATS-UNIS D'EUROPE
DANS LE JARDIN DE HAUTEVILLE HOUSE
LE 14 JUILLET 1870
I
Semons ce qui demeure, ô passants que nous sommes !
Le sort est un abîme, et ses flots sont amers,
Au bord du noir destin, frères, semons des hommes,
Et des chênes au bord des mers !
[...]
Une maison pour Victor Hugo, se devait d'avoir un jardin, sans doute par nostalgie de celui des Feuillantines de son enfance. Il accorda beaucoup de soin à celui d'Hauteville.
Tout croissait en liberté dans ce vaste jardin : Hugo souffrait de voir couper une fleur. On trouve dans le poème
"Ce que dit la bouche d'ombre" : "Tout, bête, arbre et roche, étant vivant sur Terre"... La branche d'un arbre ayant poussé en travers d'une allée, il fallait se baisser pour passer. Victor Hugo défendit qu'on la coupât : "Il ne faut pas contrarier les arbres".

"Aujourd'hui 14 juillet 1870, à une heure de l'après-midi, mon jardinier Tourtel m'assistant en présence de mon fils Charles, petit Georges et petite Jeanne étant là, j'ai planté dans mon jardin le gland d'où sortira le chêne que je baptise : "Chêne des États-Unis d'Europe".

Dans une lettre à Paul Meurice, il écrivit :
" Il ne peut sortir de cette guerre que la fin des guerres et que les États-Unis d'Europe. Vous les verrez. Je ne les verrai pas. Pourquoi ? C'est parce que je les ai prédits. J'ai le premier, le 17 juillet 1851, prononcé (au milieu des huées) ce mot : "les États-Unis d'Europe"...

Le 13 septembre 1870, de retour en France, il note :
"Julie (jeune sœur de Madame Hugo qui continuera à habiter Hauteville après le départ de Victor Hugo en 1870) m'écrit de Guernesey que le gland planté par moi le 14 juillet a germé. Le chêne des États-Unis d'Europe est sorti de terre le 5 septembre, jour de ma rentrée à Paris".




On ne peut penser aux arbres sans penser à celui de Georges Brassens !
(refrain)
Auprès de mon arbre
Je vivais heureux
J'aurais jamais dû
M'éloigner d'mon arbre
Auprès de mon arbre
Je vivais heureux
J'aurais jamais dû
Le quitter des yeux


Et bientôt les arbres seront couverts des jeunes feuilles du printemps...
Félix Leclerc en parlait si bien quand il disait :

« Quand deux oiseaux se battront le matin sous ta fenêtre

Et que leurs cris aigus te sortiront du lit

Ne cherche ni le piège, ni le mal qui les agitent ainsi

Regarde dans la rue, le printemps est venu

Et si tu as aimé, tu t'attarderas, ce matin-là »...

http://www.espritsnomades.com/sitechansons/leclerc.html